Témoignage O3
Pourquoi nous rejoindre et se former chez nous?
Entrée comme stagiaire au début de l'aventure O3 Partners, Inès a rapidement trouvé dans la multiplicité des compétences et l'ouverture internationale un cadre propice à son développement professionnel.
Inès Te
Stagiaire devenue cheffe de projet O3 Partners
“Je ne me destinais pas à ce métier d’administrateur judiciaire, en partie parce que ce métier est mal connu. Mais cette profession, à la jonction entre le chiffre et le droit, est un aboutissement assez logique de mon parcours universitaire” , constate Inès Te, qui a parfait sa formation en droit de l’insolvabilité à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, en parallèle de son activité professionnelle comme collaboratrice chez O3 Partners.
“ Ma fonction est duale. Je traite les dossiers et contribue, depuis le début de l’aventure, à la réflexion stratégique de la société pluriprofessionnelle d’exercice (SPE), elle-même un objet juridique innovant (OJI)”, explique-t-elle. “J’ai également la responsabilité d’entreprises en difficultés qu’O3 Partners assiste car on ne se forme pas à cette profession à l’université ou dans les écoles de commerce. Il y a des aspects humains, des interactions qu’on ne peut ressentir, comprendre et apprendre qu’en s’immergeant.”
Une structure juridique d'avenir
Embauchée début 2020, dans un contexte de crise économique, sociale et sanitaire, Inès Te s’estime particulièrement chanceuse d’avoir intégré une société qui entend jouer un rôle actif dans la. sortie de crise. Et qui est exactement positionnée pour répondre aux besoins des entrepreneurs désorientés. D’abord d’un point de vue technique, “car l’association des trois professions, de spécialistes extrêmement compétents, permet de répondre aux multiples questions que se posent les chefs d’entreprise”.
Avec l’entrée en vigueur des nouvelles dispositions européennes et l’introduction de nouveaux concepts anglo-saxons, le droit des entreprises en difficultés est devenu un territoire nouveau dont les règles doivent être réapprises. Le respect des principes consacrés par la jurisprudence, comme le maintien de l’emploi, n’est pas suffisant pour orienter le choix de la procédure adaptée, il faut confronter la réflexion à des analyses financières, à des valorisations d’entreprise.
Et d’un point de vue commercial, “la SPE est très intéressante dans la mesure où elle propose aux entreprises une offre globale de services offerts collectivement par des administrateurs judiciaires, avocats et experts-comptables, leur faisant ainsi gagner du temps et de l’énergie”. D’un point de vue plus personnel, “elle permet de créer un environnement de travail très confortable, avec des relations ouvertes et de belles synergies.”
“La SPE ce n’est pas juste un sigle”, assure Inès Te. “C’est surtout un mode de fonctionnement, un principe de collaboration sans hiérarchie, avec un grand respect pour le travail et les apports de chacun, associés comme collaborateurs. La pluriprofessionnalité, et donc la pluridisciplinarité, nous font évoluer et nous poussent vers le haut en termes de connaissances et de compétences puisque nous sommes amenés à travailler avec des professionnels aux profils et parcours bien différents.”
Trouver sa voie
Le sien était déjà marqué par la pluridisciplinarité quand elle est arrivée chez O3 Partners. Fille d’une comptable, elle a d’abord pensé donner la priorité au chiffre. Mais elle a “toujours été intriguée par le droit” et elle a finalement choisi de faire une double licence économie-gestion et droit à l’université Paris Dauphine-PSL : “Cette complémentarité m’a tout de suite plu. D’un côté, on voit ce que telle disposition juridique signifie pour l’entreprise. Et de l’autre, on peut avoir une analyse globale d’une situation donnée.”
La jeune femme s’oriente donc “naturellement” vers le droit des affaires. Mais le champ des possibles professionnels reste trop vaste. Elle, trop indécise. Pour son premier stage, elle se tourne vers une avocate spécialisée dans le droit de l’immobilier. “Là, c’est la diversité des interlocuteurs qui m’a plu”, raconte-t-elle. “Une fois, des architectes ont commencé à dessiner le projet dont nous parlions en pleine réunion, c’était un vrai privilège d’assister à une telle scène !”
C’est au moment de choisir son second stage qu’elle se souvient de l’intervention de l’administratrice judiciaire Isabelle Didier à un forum de l’emploi organisé par l’université Paris Dauphine-PSL. “J’avais adoré sa manière de présenter son métier, très humaine, empathique et concrète, alors je l’ai contactée.” Elle lui a répondu en une heure seulement. Dès l’entretien, elle lui parle de la SPE O3 Partners, alors à l’état de projet, et Inès Te sent que cette profession d'administrateur judiciaire va pouvoir nourrir son besoin de connaissances et de réflexions tout en satisfaisant son sens du réel et son besoin de réalisation.
A l'aide
“J’avais peur de me heurter à un monde très fermé car c’est une toute petite profession, il n’y a que 140 administrateurs et administratrices judiciaires en France”, explique-t-elle. “Mais Isabelle Didier se proposait justement d’ouvrir ce cercle en s’alliant à des avocats et des experts-comptables. J’ai tout de suite eu l’intuition que ce stage allait beaucoup me plaire.”
Intuition si bien confirmée qu’à l’issue de l’été 2020, Inès Te se voit confirmer son embauche et a le privilège d’être acceptée par le professeur François-Xavier Lucas au sein de l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne pour suivre le Master 2 Administration et liquidation des entreprises en difficultés, dont l’acronyme, ALED, et ses sonorités font sourire la jeune femme, témoignant d’un sens de l’humour qui a toute sa place au sein de O3 Partners.
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